2022-03-17 Zoophilie a Cabourg Association Protection Animale
Analyse de la condamnation[modifier | modifier le wikicode]
Cette affaire a eu lieu avant la modification de 2021, et était donc soumise à l'application de la notion de sévices de nature sexuelle.
Comme le précise le livre de Maeva Gallimard, L'incrimination de la zoophilie, la peine complémentaire d'interdiction de détention d'un animal est bien souvent pire que la peine principale.
Dans le cas présent, cette peine complémentaire représente l'interdiction de détenir, à vie, un animal.
Les faits reprochés sont d'avoir léché la vulve de la chienne, et d'avoir mis son pénis à côté de la gueule de la chienne.
Un des articles mentionne bien qu'il n'y a pas eu de pénétration de la chienne.
La personne a été condamnée à 2 mois de prison avec sursis comme peine principale, avec des amendes à payer aux parties civiles (l'association Stéphan Lamart, qui engrange ici de l'argent, on ne sait pas bien pourquoi).
Les juges ont donc retenu la qualité de sévices de nature sexuelle suite au fait de lécher la vulve d'un animal et d'avoir mis son pénis à côté de sa gueule.
Sources[modifier | modifier le wikicode]
Varaville. Actes de zoophilie sur une chienne : le prévenu condamné Faits Divers. Un homme engagé dans la protection animale a comparu, jeudi 17 mars, devant le tribunal correctionnel de Caen. Il était accusé d'actes de zoophilie sur une chienne, à Varaville, en 2019. Publié le 18/03/2022 à 15h08 L'homme a confessé tous les faits qui lui étaient reprochés devant le tribunal. Accusé d'actes de zoophilie, l'ancien vice-président d'une association de protection animale comparaissait devant le tribunal correctionnel de Caen, jeudi 17 mars. Le prévenu a tout d'abord été jugé pour détention de photos pédopornographiques et exhibition sexuelle. Puis pour des actes de zoophilie. Une personnalité dénuée de honte Jugé pour deux affaires différentes, le procès du prévenu, dont la personnalité a occupé une place importante, a été divisé en deux parties. Plusieurs analyses psychologiques et psychiatriques indiquaient que le prévenu présentait "une organisation perverse dénuée de honte et de gêne". Lors de son audition à la barre, l'homme reconnaît l'ensemble des faits qui lui sont reprochés. Il confesse avoir écarté et léché la vulve de Choupinette, chienne de type braque appartenant à sa compagne de l'époque, et avoir situé son pénis au niveau de la gueule de l'animal contre son gré. Le pénis n'ayant pas pénétré dans la gueule de la chienne, les magistrats ont jugé que le viol ne pouvait pas être reconnu. L'homme témoigne avoir "fait ce geste par curiosité" et "pulsion sexuelle". Pour cette affaire de zoophilie, le prévenu écope d'une peine de prison de deux mois assortie d'un sursis probatoire de deux ans ainsi que d'une interdiction à vie de détenir un animal. Dans le cadre de la détention de photos pédopornographiques et exhibition sexuelle, il est condamné à un an d'emprisonnement avec sursis probatoire de deux ans ainsi qu'à une obligation de soins. Des sommes allant de 300 € à 1 000 € devront être versées aux parties civiles. L'une d'elles a toutefois ajouté qu'elle réfléchissait "à faire un recours en appel". L'avocat de la défense précise : "La peine donnée est satisfaisante pour le prévenu, la société et les victimes. Un appel ne devrait pas avoir lieu."
Près de Cabourg, un homme engagé dans la protection animale soupçonné d'actes de zoophilie[modifier | modifier le wikicode]
Un homme comparaîtra ce jeudi 17 mars 2022 devant le tribunal correctionnel de Caen (Calvados) pour des faits de sévices sexuelles infligés à une chienne près de Cabourg.
C’est une chienne type braque aurait subi les sévices de la part du compagnon de sa maîtresse.
L’association Stéphane Lamart « Pour la défense des droits des animaux » – Reconnue d’Utilité Publique s’est constituée partie civile et sera présente à l’audience ce jeudi 17 mars 2022 à 8h30 devant le tribunal correctionnel de Caen (Calvados) contre un homme soupçonné d’avoir commis des actes de zoophilie sur une chienne.
Les faits se seraient déroulés à Varaville, près de Cabourg (Calvados) entre le 1er août 2019 et le 8 octobre 2019. À l’issue d’une plainte déposée pour agression sexuelle le 30 août 2019, l’homme a été convoqué et placé en garde à vue le 8 octobre 2019.
Les premières investigations et notamment l’exploitation de son téléphone portable ont mené à la découverte de photographies à caractère zoophile.
L’individu aurait reconnu qu’il était l’auteur de ces actes, lesquels auraient été commis à l’encontre de « Choupinette », une chienne de type Braque de 3 ans qui appartenait à sa compagne du moment, dont il est aujourd’hui séparé, présidente d’une association de protection animale située près de Cabourg. Il aurait expliqué aux gendarmes avoir agi par « curiosité » et afin d’assouvir une « pulsion sexuelle ».
Au moment des faits, l’homme prenait part à l’activité de l’association de protection animale « La Tribu de Sapeur » qu’il avait créée à Varaville avec son ex-compagne, présidente de l’association.
La Tribu de Sapeur a fermé ses portes en 2020 après 10 ans d’existence.
L’homme est appelé à comparaître devant le tribunal correctionnel de Caen ce jeudi 17 mars 2022 afin d’être jugé pour ces faits, qualifiés de sévices sexuelles envers un animal.
L’association Stéphane Lamart sera représentée par Maître Christophe Gérard.
Calvados. Un homme jugé pour des actes de zoophilie sur une chienne Faits Divers. Un homme sera jugé jeudi 17 mars, devant le tribunal correctionnel de Caen, pour avoir commis des actes de zoophilie sur une chienne à Varaville, en 2019. Publié le 16/03/2022 à 15h14 - Par Raphaëlle Simonnot Le prévenu a reconnu les faits commis sur une chienne de type braque de 3 ans qui appartenait à sa compagne de l'époque. Un homme passera jeudi 17 mars devant le tribunal correctionnel de Caen, pour des actes de zoophilie commis sur une chienne, dans la commune de Varaville. Les faits remontent en août 2019. Alors qu'il est engagé dans l'association de protection animale "La Tribu de Sapeur", le prévenu commet des attouchements sur la fille d'une bénévole. Cette dernière porte plainte le 30 août 2019, au commissariat de police de Caen. L'homme est placé en garde à vue le 8 octobre 2019. "Lors de l'enquête, les forces de l'ordre ont découvert des photos de jeunes filles mineures mais aussi de son sexe avec des animaux", détaille Stéphane Lamart, président de l'association de protection animale du même nom. Selon l'association, "les photographies représentaient un homme en train d'écarter et de lécher la vulve d'une chienne ainsi que la vue d'un pénis situé au niveau de la gueule de l'animal". Une condamnation antérieure pour exhibition sexuelle Le prévenu a reconnu les faits commis sur une chienne de type braque de 3 ans qui appartenait à sa compagne de l'époque. "Il a expliqué avoir agi par curiosité et afin d'assouvir une pulsion sexuelle." Au moment des faits, l'homme faisait partie de l'association La Tribu de Sapeur, structure qu'il avait créée avec sa compagne de l'époque qui en était alors la présidente. Depuis, l'association a fermé ses portes. Le prévenu a déjà été condamné par le passé pour des faits d'exhibition sexuelle. "Une disjonction a été ordonnée pour les faits d'agression sexuelle", conclut l'association qui s'est constituée partie civile et sera présente lors du procès.