« A Case Study of Preferential Bestiality (zoophilia) » : différence entre les versions
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In a previous article, we presented phallometric data to illustrate a case of preferential bestiality or zoophilia (Earls & Lalumière, Sex Abuse: J Res Treat, 14:83–88, 2002). Based on the available literature, we argued that a marked preference for having sex with animals over sex with humans is extremely rare. In the present article, we describe a second case of zoophilia that challenges the widely held assumptions that men who have sex with animals are generally of below average intelligence and come from rural areas. In addition, we provide a brief review of a burgeoning quantitative literature using large groups of zoophiles recruited from internet sources. Although estimates of the prevalence of zoophilia are not possible at this time, it appears that zoophilia is not as rare as once thought and shares many features with other atypical sexual interests. | |||
[http://www.springerlink.com/content/xjw2736170737347/#ContactOfAuthor2 Article disponible ici mais payant]<br> | |||
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Dans un précédent article, nous avons présenté des données phallométriques ''(NdT : mesure de la taille du pénis sous l'influence d'un stimulus)'' pour illustrer un cas de bestialité préférentielle, ou zoophilie (Earl & Lalumière, Abus Sexuel : J Res Trat, 14:83-88, 2002). Basé sur la littérature existante, nous avions argumenté qu’une préférence marquée pour les relations sexuelles avec des animaux sur les relations sexuelles avec des humains était très rare. Dans ce présent article, nous décrirons un second cas de zoophilie qui met en doute la supposition courante, qu’un homme qui a des relations sexuelles avec des animaux, a une intelligence inférieure à la moyenne et est d’origine rurale. De plus, nous fournirons une brève revue de la quantité croissante de littérature produite par de larges groupes de zoophiles sur l’Internet. Bien que l’estimation de la prévalence de la zoophilie n’est pas possible à ce jour, il apparaît que la zoophilie est moins rare que nous le pensions, et qu’elle partage plusieurs caractéristiques avec les autres activités sexuelles atypiques. | |||
''Traduction : [[User:Politique|Céphée]]'' | |||
== Article français traitant du texte en question == | |||
[[Être amoureux… de chevaux]] | |||
Dans cet article, [[Earls (Christopher)|Christopher Earls]] explique comment il a revu son opinion sur la zoophilie. | |||
==Voir également== | |||
* [[Earls (Christopher)]] | |||
* [[A case study of preferential bestiality (zoophilia)]] | |||
* [[A Case Study of Preferential Bestiality]] | |||
* [[L’homme qui aimait trop les chevaux]] | |||
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[[Category:Bibliographie]] | [[Category:Bibliographie]] |
Version actuelle datée du 19 août 2009 à 11:59
Attention : cet article contient certaines idées qui n'engagent que son auteur et ne sont donc pas forcement à prendre comme verités absolues
Souvenez-vous que la psychologie est loin d'être une science exacte et qu'elle est avant tout très normative...
Résumé en anglais :[modifier | modifier le wikicode]
In a previous article, we presented phallometric data to illustrate a case of preferential bestiality or zoophilia (Earls & Lalumière, Sex Abuse: J Res Treat, 14:83–88, 2002). Based on the available literature, we argued that a marked preference for having sex with animals over sex with humans is extremely rare. In the present article, we describe a second case of zoophilia that challenges the widely held assumptions that men who have sex with animals are generally of below average intelligence and come from rural areas. In addition, we provide a brief review of a burgeoning quantitative literature using large groups of zoophiles recruited from internet sources. Although estimates of the prevalence of zoophilia are not possible at this time, it appears that zoophilia is not as rare as once thought and shares many features with other atypical sexual interests.
Article disponible ici mais payant
Coordonnées de l'auteur : [email protected]
Traduction[modifier | modifier le wikicode]
Dans un précédent article, nous avons présenté des données phallométriques (NdT : mesure de la taille du pénis sous l'influence d'un stimulus) pour illustrer un cas de bestialité préférentielle, ou zoophilie (Earl & Lalumière, Abus Sexuel : J Res Trat, 14:83-88, 2002). Basé sur la littérature existante, nous avions argumenté qu’une préférence marquée pour les relations sexuelles avec des animaux sur les relations sexuelles avec des humains était très rare. Dans ce présent article, nous décrirons un second cas de zoophilie qui met en doute la supposition courante, qu’un homme qui a des relations sexuelles avec des animaux, a une intelligence inférieure à la moyenne et est d’origine rurale. De plus, nous fournirons une brève revue de la quantité croissante de littérature produite par de larges groupes de zoophiles sur l’Internet. Bien que l’estimation de la prévalence de la zoophilie n’est pas possible à ce jour, il apparaît que la zoophilie est moins rare que nous le pensions, et qu’elle partage plusieurs caractéristiques avec les autres activités sexuelles atypiques.
Traduction : Céphée
Article français traitant du texte en question[modifier | modifier le wikicode]
Dans cet article, Christopher Earls explique comment il a revu son opinion sur la zoophilie.