Modèle:Etude Initiale Retranscription Partie 6
Cette page contient la transcription de la première partie de l'étude d'Animal Cross. Pour voir les autres parties, consulter la page dédié.
Partie 6 - Conclusion[modifier | modifier le wikicode]
Merci monsieur le député, vous lirez les propositions du député Hubron, elles sont extrêmement riches. Véritablement, si on arrivait à ce qu'elles soient votées, ça serait un changement extrêmement important pour les animaux. La pression est sur lui et sur ses collègues. Donc, qu'est ce qui va se passer à partir de maintenant ? On a un plan qui est en 3 étages : - La 1ère chose, c'est de faire connaitre ce qui se passe au niveau de la zoophilie. Il y a une série d'articles qui sont parus dans la presse, dans les médias, depuis quelques semaines, il y a la conférence d'aujourd'hui. Il faut que le sujet existe dans nos têtes. Et s'il n'existe pas dans nos têtes, qu'on soit association de protection des animaux, qu'on soit vétérinaire, qu'on soit journaliste, qu'on soit parlementaire, il n'y a aucune chance qu'on mette fin à la situation. Il faut que le sujet existe pour nous et j'en appelle aussi à tous les gens qui sont ici, je vois qu'il y a la Fondation Bardot aussi qui est arrivée, merci beaucoup. D'ailleurs on a rappelé tout à l'heure Romy tout le travail qui a été fait par la fondation Bardot en 2010. Donc, voilà, il faut que le sujet existe dans nos têtes, ça c'est important. Ça c'était le 1er niveau, et il faut que ça continue. On a un travail à faire tous ici par rapport à ça.
- La 2ème chose, c'est donc qu'on va travailler directement avec les acteurs du privé qui sont responsables de ces contenus en ligne. C'est à dire qu'en fait on a fait une pétition sur mesoptions.com qui a à peut près 40.000 signatures, ça a commencé, donc on s'adresse : aux moteurs de recherche, comme Google, on s'adresse aux hébergeurs de sites comme OVH, aux fournisseurs d'accès comme Orange, et on va leur dire "débarrassez nous de cette pourriture qui est en ligne". Et donc on va aller les voir, on va leur demander de signer une charte de bonne conduite, et si ils veulent pas, ça va être le principe de Name and Shame, c'est à dire qu'en fait on va les traîner devant l'opinion publique, et on va dire "regardez ces gens là, regardez ce qu'ils font, regardez c'est pas bien". Ça, c'est le 2ème étage, et c'est extrêmement puissant, parce qu'on pense que ces sociétés là n'ont aucun intérêt à ce que leur nom soit associé avec des images négatives, et avec le fait qu'ils veulent pousser, et encourager la zoophilie.
- Et le 3ème point, c'est tout le travail des parlementaires, c'est de faire en sorte effectivement qu'il y ai un changement au niveau de la législation, et comme vous avez vu, il y a toue la partie en amont, avant que les actes soient commis, c'est sans doute là que c'est le plus important, parce que dans la plupart des cas, on arrivera pas à avoir la preuve objective de ce qui s'est fait. Donc ce qui compte, c'est, au niveau des acteurs privés, mais aussi au niveau des parlementaires, c'est de désorganiser totalement la communauté zoophile, pour pas qu'ils arrivent à se connecter les uns avec les autres comme c'est possible avec internet et donc c'est tout le travail, fait par le député Houbron en amont, et puis ensuite renforcer les sanctions devant les tribunaux.
Merci à tous, on a été plus longs que prévus, je ne sais pas si vous voulez qu'on fasse les questions maintenant, parce que le temps passe, ou simplement on peut rester encore ici, quelques dizaines de minutes, et on répondra les uns aux autres.