23 Mai 2024 : Ne votez pas pour le parti animaliste !
Attention au parti animaliste ![modifier | modifier le wikicode]
Le Dimanche 9 juin, vous allez être appelé à voter pour les élections européennes.
Parmi les nombreuses listes qui se présentent, il y a le "Parti Animaliste".
NE VOTEZ SURTOUT PAS POUR CETTE LISTE !!!
Nous sommes tous, en très grande majorité, concerné par le bien être animal, mais ce parti politique lutte contre la zoophilie.
Pire, sa fondatrice, Hélène Thouy, tête de liste, avocate de métier, représente l'association Animal Cross et a défendu devant la justice son président, Benoit Thomé, tristement célèbre dans le monde de la zoophilie, comme étant la personne qui a fait voter la nouvelle loi.
Hélène Thouy défendrait la chasse ?[modifier | modifier le wikicode]
Benoit Thomé a ouvertement déclaré posséder le permis de chasse.
S'il est déjà curieux qu'un président d'une association de protection animale détient le permis de chasse, cette information devient cruciale lorsqu'on sait qu'il est défendu par Hélène Thouy.
Elle ne peut pas ignorer cet état de fait.
C'est à se demander si Hélène Thouy défend les chasseurs, et si, par extension, le parti animaliste qu'elle représente pourrait avoir le même avis sur les détenteurs du permis de chasser.
Un parti contre la zoophilie[modifier | modifier le wikicode]
Sachez donc, avant de glisser votre bulletin dans l'urne, que le parti animaliste lutte contre la zoophilie, sa fondatrice défend Benoit Thomé en justice, et qu'ils feront tout ce qu'ils pourront pour pousser devant le parlement européen des lois pour interdire la zoophilie de façon globale.
Hélène Thouy fait relaxer Benoit Thomé poursuivi pour doxing[modifier | modifier le wikicode]
Début mars 2024, le Tribunal de Pau a rendu sa décision concernant la poursuite pénal de Benoit Thomé pour doxing (voir la page dédiée).
Défendu par Hélène Thouy, Benoit Thomé a été relaxé.
Nous n'avons pas encore reçu les détails du jugement (la justice est parfois lente, cela fait près de 3 mois que nous attendons), c'est pourquoi nous n'avons pas encore donné l'information.
Le tribunal prend acte du doxxing de Benoit Thomé, et le fait qu'il a menti lors du 1er procès, avant que la justice n'interroge les membres du bureau de l'association et prouve qu'il était pas responsable de ce dox.
Lors du second procès, il a clairement expliqué avoir doxé la personne présenté comme zoophile.
Le tribunal a jugé que le fait de dévoiler les coordonnées d'une personne présentée comme zoophile ne présentait un risque ni pour ses biens, ni pour sa personne.
De plus, le tribunal a retenu l'explication de Benoit Thomé que la diffusion des coordonnées de la victime n'avait pas pour but une atteinte par une tierce personne à sa personne ou à ses biens, mais "juste" pour faire cesser une infraction de zoophilie.
La logique "diffusion de coordonnées" > "arrêt d'une infraction de zoophilie" n'a pas été détaillé, et le juge n'a pas pensé que cela passait par l'atteinte à la personne ou aux biens.