Faits divers historiques

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Pierre Grondeau[modifier | modifier le wikicode]

Pierre Grondeau, gagne-denier à Loudun, pour bestialité avec une ânesse, est condamné par le parlement de Paris à estre étranglé et bruslé avec l’ânesse, et ses biens confisqués. 9 novembre 1542. (Bibl. nat., Manuscrits Suppl. franc., n° 10969.)


--Chiron 8 mars 2009 à 11:44 (CET)

Marie d'Anjou[modifier | modifier le wikicode]

Un article concernant la zoophilie de Marie d'Anjou se trouverait dans le l'ouvrage suivant: Albert Louis Caillet, Manuel bibliographique des sciences psychiques ou occultes, Paris: L. Dorbon, 1912. p. 273?


--Chiron 8 mars 2009 à 11:43 (CET)

J. Gion[modifier | modifier le wikicode]

J. Gion, laboureur à Chamarolles. est condamné par le parlement de Paris pour bestialité avec une vache à estre étranglé et bruslé avec ladite vache. 24 avril 1550. (Bibl. nat., Manuscrits Suppl. franc., n° 10969.)


--Chiron 8 mars 2009 à 11:41 (CET)

Jacques ferron[modifier | modifier le wikicode]

En 1750, un nommé Jacques Ferron fut pendu pour avoir eu des rapports avec une ânesse. Plusieurs témoins respectable, dont l’abbesse du monastère proche, déclarèrent connaître l’ânesse depuis longtemps et certifièrent qu’elle avait toujours eu une conduite vertueuse. La Cour acquitta l’ânesse, concluant qu’elle avait dû être violée.

François Judicth[modifier | modifier le wikicode]

François Judicth, dit Rencontre était tambour dans l'armée en Nouvelle-France. Il fut accusé de bestialité en 1697. Comme une trentaine d'individus de 1668 à 1758 il fut soumis à la torture. Il fut finalement acquitté à la fin de la séance.

Source: Patrimoine militaire Canadien [1]

Frédérick II[modifier | modifier le wikicode]

Alors que son père avait été un despote, Frédéric II de Prusse fut un roi philosophe aux moeurs et à la morale singulière pour l'époque.

Dans ses Mémoires Voltaire qui avait été son conseiller décrit un épisode de sa carrière politique qui concerne la zoophilie. Le grand Frédéric à qui on avait donné à signer la peine de mort d’un de ses sujets convaincu d'avoir eu des rapports sexuels avec son ânesse, refusa de confirmer la sentence et écrivit au bas de l'ordonnance qu'on lui proposait de signer "qu’il donnait dans ses États liberté de conscience et de f..."

Voir aussi[modifier | modifier le wikicode]

VOLTAIRE, La vie privée du Roi de Prusse ou Mémoires pour servir à la vie de Mr. De Voltaire, écrits par lui-même, 1759, p. 100.

--Chiron 8 mars 2009 à 11:40 (CET)