Avis du Conseil d'éthique animale danois
Une recherche sur la loi.
Tout commence par cette article : Fichier:Rapport.pdf
Ce rapport a été demandé par le "ministère du bien être animal" (traduction à revoir) au "Danish Animal Ethics Council". Ils ont travaillé sur le sujet de mars à novembre 2005, avec 5 meetings durant cette période.
La conclusion (9/10) est que la loi actuelle au Danemarque suffit, 1 personne a dit qu'il fallait bannir tout acte zoophile.
La suède a commandé le même genre de rapport, avec une conclusion diamétralement opposée : http://www.bioethics.uu.se/symposium/2007/abstracts/subsessions/gjerris_etal.pdf
Traduction[modifier | modifier le wikicode]
En ce qui concerne la traduction, je pense, pour eviter de commencer dans le fastidueux, que le mieux serait de commencer par la section 4 :
4. Knowledge about human beings’ sexual activities with animals
Qu'en pensez vous ?
Traduction Française[modifier | modifier le wikicode]
ETUDE SUR LES RELATIONS SEXUELLES ENTRE HUMAINS ET ANIMAUX
(TRADUCTION NON-OFFICIELLE)
Cette traduction a été faite SANS la permission du Conseil d’Ethiques Animaliers Danois. Le traducteur n’est en aucun cas lié au Conseil d’Ethiques Animaliers Danois, ett toutes les erreurs de traductions sont celles du traducteur, et ne reflètent en rien le travail du Conseil. Toutes citations de ce rapport doivent être clairement signalées comme basées sur une traduction non-officielle. Le Conseil d’Ethique Animalier Danois n’est uniquement responsable que du contenu de la version originale.
4. Connaissances sur les humains ayant des activités sexuelles avec des animaux
Collecte d’information
En relation avec ce rapport, le Conseil a tenté de découvrir la nature et l’ampleur, aussi bien que le contexte des activités sexuelles entre humains et animaux. Il n’y a qu’un nombre limité d’études scientifiques sur le sujet, principalement basées sur les population d’Europe et d’Amérique du Nord, et donnant une représentation incertaine de ce que ces étude feront de ce sujet tabou. Le Conseil a, en plus, noté les comportements en parcourant les littératures et sites internet, et par le contact de personnes concernées par des personnels aux compétences appropriées. Le Conseil a en outre fait une enquête informelle parmi des vétérinaires du Danemark. Et finalement le secrétaire scientifique du Conseil a eu contact, via email et téléphone, avec un certain nombre de gens qui a des relations sexuelles avec des animaux et qui a partagé leur connaissance, expériences et des pensées. La vue d'ensemble ci-dessous est un résumé des informations contenant des aspects appropriés pour les discussions du Conseil. Une liste de la littérature principale que le Conseil a collectée est en Appendice 3
Les activités sexuelles entre humains et animaux
Parties impliquées :
Humains : Ce sont les hommes et les femmes ayant des relation sexuelles avec des animaux. Les sondages indiquent qu’il y a plus d’hommes que de femmes, mais ceci est peut-être faussé du fait qu’il ait plus d’hommes que de femmes sur les lieux où les sondeurs opèrent, ou si les femmes conservent leurs activités sexuelles plus secrètes que les hommes.
Espèces animales : Les sondages indiquent que les chien et les chevaux sont les espèces animales les plus impliquées dans les activités sexuelles. Mais bovins, ovins, caprins et porcins sont aussi fréquemment mentionnés. D’autres espèces telles que félins, serpents, poissons, petits rongeurs, insectes et autres sont aussi évoqué, mais cela reste plus rare.
Types d’activités sexuelles :
- La personne se sent excitée sexuellement par la vue d’organe sexuels d’animaux et par la vue de relation sexuelle entre animaux ou entre humains et animaux (voyeurisme).
- La personne frotte des parties génitales contre le corps de l’animal, ou laisse l’animal frotter ses propres parties génitales contre son (frottage).
- La personne sonde les parties génitales de l’animal, sans nécessairement exciter sexuellement l’animal (par exemple : les doigts dans le vagin de l’animal ou au environs du pénis
- La personne laisse l’animal toucher ses parties génitales sans nécessairement être en rapport avec une activité sexuelle de l’animal (par exmple : un chat léchant les parties génitales, ou un serpent glissant sur les parties génitales).
- La personne stimule, manuellement ou oralement, les parties génitales de l’animal, en vue d’obtenir un plaisir sexuel de l’animal et, si possible, un orgasme.
- Relation sexuelle (vaginale ou anale) avec un animal mâle, l’animal assurant la part active.
- Relation sexuelle (vaginale ou anale) avec un animal, l’humain mâle assurant la part active.
- Introduction d’une partie de l’animal (autre que le pénis) dans le vagin de la personne, l’urètre ou l’anus
- La personne exerce des violences contre les parties génitales de l’animal (probablement comme cruauté à l'animal et pas nécessairement sexuellement motivée)
- La personne tue l’animal et utilise son corps, ou des parties de celui-ci, pour une satisfaction sexuelle (nécrophilie).