Composantes de la zoophilie
Petit guide de la zoophilie[modifier | modifier le wikicode]
A travers les nombreux débats qui ont lieu sur des forums traitant de la protection animale, ou encore de la sexualité, certains amalgames reviennent souvent. Ce petit guide a donc été créé pour décomposer la zoophilie, afin de montrer ce qui est acceptable ou pas.
La zoophilie est quelque chose de complexe, et chaque fois que dans une discussion, des personnes disent "il faut interdire la zoophilie" ou encore "la zoophilie ne me dérange pas", cela induit des sous entendus qu'il convient d'expliciter.
La loi[modifier | modifier le wikicode]
Déjà vis à vis de la loi : On ne peut militer ni pour l'autorisation, ni pour l'interdiction de la zoophilie: La zoophilie, c'est, par extension, une relation mettant en jeu un être humain et un animal.
Il faut donc déjà diviser ces pratiques en deux groupes, suivant si l'animal est actif (c'est à dire qu'il pénètre) ou passif (c'est à dire qu'il est pénétré). On voit déjà que l'acceptation ou non de cette pratique dépend beaucoup du cas de figure : un homme qui pénètre une chienne n'est pas la même chose qu'un chien pénétrant une femme.
Il faut ensuite distinguer, au sein de ces deux groupes, le type de l'animal. Par popularité, on trouve donc les chiens, les poneys, les chevaux, les chevaux de trait, les vaches, les chèvres...
On commence à s'apercevoir que parler de "LA zoophilie" n'a pas beaucoup de sens.
L'aspect physique[modifier | modifier le wikicode]
Parmi toutes les combinaisons (non exhaustives) offertes ici, on voit de suite, sans parler loi, moral, éthique, mais simplement en parlant de physique, que certaines relations peuvent nuire à l'animal, d'autres non, et d'autres sons tangentes.
Par exemple, un chien qui pénètre, ça ne pose aucun soucis d'ordre physique. Un homme qui pénètre une jument de trait non plus (il n'y a qu'à comparer la taille d'un pénis de cheval et humain).
La plupart des cas qui posent problème sont : un homme pénétrant une chienne (ou ne parle pas ici de teckel, ce cas est trivial), un homme pénétrant un poney ou une ponette. Pour le cas de ponettes, il suffit ici encore de comparer la taille du pénis humain et celui d'un poney. La réponse est de suite trouvée : une ponette ne peut pas souffrir d'une telle relation. Par contre, il en est autrement dans le cas d'un acte de sodomie d'un homme sur un poney/ponette. Ce cas est beaucoup moins trivial. Pour répondre à ces questions, pour lesquelles aucune étude n'existe, nous avons mis en place une page dédiée aux pratiques de l'élevage.
Par exemple, pour le cas d'un acte de sodomie sur une jument, nous savons que les éleveurs enfoncent leur bras dans le rectum des jument pour effectuer une échographie de la jument (cet acte est légalement autorisé que pour les vétérinaires, mais il est connu, dans le monde de l'élevage, que les éleveurs pratiquent cet acte eux même, afin de réduire les couts et de maximiser les saillies et donc les produits). Si il est toléré d'enfoncer un bras dans le rectum d'une jument, l'introduction d'un pénis humain ne doit donc pas poser problème.
Nous n'avons, à ce jour, aucune donnée sur cet acte concernant l'échographie des ponettes.
L'aspect moral, éthique et la découverte de la zoophilie[modifier | modifier le wikicode]
Un débat avec un détracteur de LA zoophilie (ie de TOUS les actes) se passe, la plupart du temps, de la même façon. D'abord elle va critiquer sans réfléchir (c'est immoral, c'est un viol, c'est de la torture). De là, on explique que ce n'est pas aussi simple, et que dans le cas d'un chien qui pénètre une femme, l'animal n'est pas abusé, ni violé, ni torturé.
Là, deux arguments émanent généralement de la personne anti zoophile : soit elle explique que, de toute façon, c'est immoral, contre nature, et qu'il faut quand même enfermer les zoophiles, ou alors elle explique que, même si le chien pénètre la femme, a une érection, a l'air demandeur, c'est que en fait la femme amène le chien à agir contre sa volonté : même si le chien a l'air demandeur, il n'en est rien, il agit contre sa volonté, poussé par ses hormones.
En ce qui concerne donc l'argument moral et éthique : il existe plusieurs morales : la morale de la société, et la morale de l'individu.
La morale de la société est en fait la morale de la majorité des gens. Actuellement, en France, il s'agit donc d'une morale issue de la religion. Inutile donc de dire que, pour la plupart des gens, avoir une relation avec un animal, est quelque chose de choquant, d'immoral, de pervers, etc... C'est dommage, mais il n'y a pas possibilité de répondre à ce genre d'arguments. La loi reposant bien souvent sur la morale à un temps donné, c'est triste, mais on enferme les zoophiles en prison à cause de la pensée de la majorité.
Il y a ensuite la morale de l'individu. Chaque personne a son expérience de la vie, de la société, qui lui est propre. Pour certaines personnes, caresser un animal près du fourreau ne pose aucun soucis, pour d'autres, il existe des inhibitions qui vont lui interdire cette zone (éducation, religion...). Pour d'autres, ils seront persuadés de faire plaisir à l'animal, et n'auront aucune gène à caresser l'animal à cette endroit. De fil en aiguille, et avec le même raisonnement logique, peut aller jusqu'à masturber l'animal (la plupart des zoophiles ont découvert les relations sexuelles avec les animaux de cette façon), toujours pour lui faire plaisir, pour voir sa réaction.
Ce cas est à opposer au cas des personnes qui, de plus en plus souvent, ont envie d'essayer la zoophilie, parcqu'ils ont vu une vidéo, des images pornographique, de la même façon qu'ils ont envie d'avoir une expérience homosexuelle ou sadomasochiste.