Le spectre de la zoophilie

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Cette idée est une idée personnelle qui s'est construite avec les années, entre les rencontres que j'ai pu faire et ce que j'ai pu voir sur Internet.

Il s'agit de présenter une échelle, un spectre, qui représente de façon rapide le spectre de la zoophilie, c'est à dire l'étendue des pratiques et mode de vie que ce mot regroupe, allant basiquement du romantique (où la relation avec les animaux n'implique pas de rapports sexuels) au queutard (pour qui le sexe est très présent dans sa vie, avec au moins une relation sexuelle avec un animal par jour).

Ce spectre a pour objectif :

  • pour les zoophiles : pouvoir se placer, trouver sa place au sein de la communauté zoophile, de façon à aider à se présenter, et à aider les personnes dans leurs recherches et leurs attentes.
  • pour les non-zoophiles : pouvoir comprendre ce qu'implique le mot "zoophilie" et avoir une première approche des modes de vie possible des zoophiles.

Il existe plusieurs courbes intéressante, liées à cette notion.

L'évolution personnelle[modifier | modifier le wikicode]

La très grande majorité des personnes que j'ai pu rencontrer ont suivi la même "courbe d'évolution".
A noter que ces personnes viennent d'une époque où Internet n'existait pas lors de leur enfance / adolescence.

Le moment de la découverte, étant enfant ou adolescent, puis la recherche active d'un compagnon.
Ensuite le moment d'une demande sexuelle très importante, pour enfin se stabiliser une fois adulte, avec son ou ses compagnons.
Ensuite la routine s'installe, comme un vieux couple et la recherche des contacts sexuels laisse sa place au côté affectif.

Le spectre des zoophiles[modifier | modifier le wikicode]

Cette courbe est intéressante parce qu'elle représente la répartition du nombre de personnes qui se disent être zoophile en fonction de la fréquence réelle des rapports sexuels avec un animal.
Les groupes de personnes sont classés de gauche à droite, selon la fréquence des rapports sexuels.

A l'extrême gauche, on retrouvera les zoo-romantiques (voir plus bas), les fantasmeurs et les voyeurs.
Viennent ensuite les zoophiles qui ont des relations sexuelles (divisés en 2 groupes : d'un côté les opportunistes (qui n'ont pas d'animaux) et de l'autre ceux qui ont leurs compagnons).
A l'extrême droite, on retrouve les hyper-actifs sexuels. Les personnes de ce groupe sont généralement ouvertes à plusieurs formes de sexualité, on peut les définir comme épicuriens.

Le zoo-romantique[modifier | modifier le wikicode]

Le zoo-romantique est à la frontière de la zoophilie : pour lui, c'est le contact social avec l'animal qui est recherché.
L'aspect sexuelle est donc relégué au second plan : il n'est pas recherché.