« Rapport Kinsey » : différence entre les versions

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« Je rencontre un homme qui promène son chien. Nous commençons à bavarder et le chien n’arrête pas de venir me renifler, de me donner des coups de museau entre les jambes, en gémissant. Et moi aussi je suis excitée, je regarde cette pointe rose vif palpiter, grossir… » (Zoé, 22 ans)  
« Je rencontre un homme qui promène son chien. Nous commençons à bavarder et le chien n’arrête pas de venir me renifler, de me donner des coups de museau entre les jambes, en gémissant. Et moi aussi je suis excitée, je regarde cette pointe rose vif palpiter, grossir… » (Zoé, 22 ans)  


[[Catégorie:Histoire]]
[[Catégorie:Documentaires]]

Version du 3 juillet 2009 à 18:18

Le Docteur Kinsey, fut l'un des premiers à s'intéresser à l'étude de la sexualité humaine.

Le Rapport Kinsey qu'il publie en 1953 établit que 17% des garçons américains de milieu rural ont eu au moins une relation sexuelle avec un animal. Selon le même rapport, la proportion générale de zoophiles dans la population des Etats-Unis est de 8% pour les hommes et de 5% pour les femmes.

En revanche, selon la sexologue américaine Nancy Friday, le fantasme de zoophilie est assez courant et cru chez les femmes qu’elle a interrogées :

« L’un de mes fantasmes préférés est d’être prise par des animaux qui me permettent d’être aussi dépourvue d’inhibition qu’ils le sont eux-mêmes. En fantasme, j’imagine que je suis dans un laboratoire de recherche scientifique et qu’on me demande de pousser un gorille mâle à me faire l’amour pour qu’un film soit tourné sur cette expérience. » (Pamela, 34 ans)

« A notre insu, un jeune type, très beau garçon, accompagné d’un berger allemand, est en train de nous observer tandis que nous gémissons de plaisir. Il l’amène derrière mon amie qui est au-dessus de moi. J’aperçois le bout rouge vif de la bite du chien quand le garçon le fait monter sur ma partenaire. » (Ellen, 24 ans)

« De temps en temps, il m’arrive de fantasmer que je me fais prendre en levrette par un chien. » (Laurie, 36 ans)

« J’arrive dans une clairière, je m’agenouille sous un cheval pour caresser son pieu gigantesque, lécher son bout énorme, masser ses bourses massives. Et quand son pieu a été dressé à fond, dur comme du fer et tout palpitant, je me mets à quatre pattes en le guidant droit sur mon con. » (Hannah, 37 ans)

« Je rencontre un homme qui promène son chien. Nous commençons à bavarder et le chien n’arrête pas de venir me renifler, de me donner des coups de museau entre les jambes, en gémissant. Et moi aussi je suis excitée, je regarde cette pointe rose vif palpiter, grossir… » (Zoé, 22 ans)