« La Ballade de Narayama - 1983 » : différence entre les versions
(New page: de Keisuke Kinoshita Drame Japonais, 1983 avec Sumiko Sakamoto, Ken Ogata, Takejo Aki Le film se passe au Japon dans un village isolé vers 1860. Une femme atteint l'âge fatidique de 70,...) |
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Le film se passe au Japon dans un village isolé vers 1860. Une femme atteint l'âge fatidique de 70, comme le veut la coutume elle doit se rendre au sommet d'une montagne pour mourir. | Le film se passe au Japon dans un village isolé vers 1860. Une femme atteint l'âge fatidique de 70, comme le veut la coutume elle doit se rendre au sommet d'une montagne pour mourir. | ||
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Palme d'or au festival de Cannes 1983 | Palme d'or au festival de Cannes 1983 | ||
Ce conte violent construit comme une parabole est en même temps la chronique d'une communauté. Il fit scandale à sa sortie. L'auteur y fait se cotoyer les extrèmes: à la dureté des conditions de vie répond la frénésie des pulsiosn et des désirs. L'interdépendance entre l'homme et l'animal mise en scène dans le film serait une marque de fabrique du réalisateur. | |||
La scène de zoophilie du film d'une dizaine de secondes est très explicite. Elle met en présence un homme cherchant manifestement à assouvir ses désirs et une chienne. | |||
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Version actuelle datée du 7 janvier 2021 à 15:16
de Shohei Imamura avec Ken Ogata, Sumiko Sakamoto Tajeko Aki, Tonpei Hidari, etc. Japon 1983
Le film se passe au Japon dans un village isolé vers 1860. Une femme atteint l'âge fatidique de 70, comme le veut la coutume elle doit se rendre au sommet d'une montagne pour mourir.
Le scénario est basé sur les nouvelles Tohoku no Zummutachi et Étude à propos des chansons de Narayama, de Shichirō Fukazawa, elles même basées sur une légende japonaise « Obasute » : une vieille femme sans utilité pour sa communauté est abandonnée dans la montagne.
Palme d'or au festival de Cannes 1983
Ce conte violent construit comme une parabole est en même temps la chronique d'une communauté. Il fit scandale à sa sortie. L'auteur y fait se cotoyer les extrèmes: à la dureté des conditions de vie répond la frénésie des pulsiosn et des désirs. L'interdépendance entre l'homme et l'animal mise en scène dans le film serait une marque de fabrique du réalisateur.
La scène de zoophilie du film d'une dizaine de secondes est très explicite. Elle met en présence un homme cherchant manifestement à assouvir ses désirs et une chienne.
La scène est à cheval entre deux parties : à la 38ème minute et <A COMPLETER>