Tête de cheval
selon Balthazar : Il ne s'agit pas de zoophilie bien grasse mais de l'étude des rapports ambigus entre un étalonnier et son protégé ... Dans ce roman , Victor, est un étalonnier fou de son métier ... Nul mieux que lui ne sait l'art de préparer les bêtes à la saillie... Son réve: initier l'étalon de race à une forme supérieure de désir ... Sa complice: Marta une jolie africaine, fille d 'écurie qu'il soumet à ses caprices sous les yeux de l'étalon ...
selon Soul_baudet : Un autre moment qui m'avait plus, à l'époque…, le moment où le technicien du haras ‘pète’ un câble lorsqu’il se rend compte que finalement, après des années de pratique d’insémination artificielle, il se rend comte qu’il ne connaît finalement pas les juments qu’il voit au haras. Du moins, qu’il ne les connaît pas réellement car il ne saurait les différencier l’une de l’autre dans le même pré, mais que par contre, il peut savoir exactement laquelle de ces juments il a en face de lui lorsqu’il va l’inséminer, car connaissant parfaitement chacun des replis et des moindres détails de leur arrière-train ! J’aime beaucoup également le passage où le même technicien relativise sur la sexualité des femmes et des juments, et que finalement, il est devenu expert en matière de détection et d’appréciation des chaleurs de jument, et avec quel art ces juments lui font parfois ouvertement savoir qu’elles sont prêtes à se faire pénétrer, queue levée, parfaitement campée, vulve dilatée et dégoulinante à souhait…, presque à l’écœuré tellement certaines juments sont finalement plus prêtes à participer, que certaines femmes !