Le spectre de la zoophilie
Lumière sur/Le spectre de la zoophilie
Modèle:DISPLAYTITLE
Le spectre de la zoophilie
Cette idée est une idée personnelle, qui a murit dans mon esprit au fur et à mesure des années, au fil des rencontres et de ce que j'ai pu voir sur Internet.
Il s'agit de présenter une échelle, un spectre, qui présente de façon rapide le spectre de la zoophilie, du romantique au "queutard".
Ce spectre a pour objectif de pouvoir se placer, trouver sa place au sein de la communauté zoophile, de façon à aider à se présenter, et à aider les personnes dans leurs recherches et leurs attentes.
Il existe plusieurs courbes intéressante, liées à cette notion de "spectre de la zoophilie" :
L'évolution personnelle
De façon générale, la très grande majorité des personnes que j'ai pu rencontrer ont suivi la même "courbe d'évolution".
Le moment de la découverte, étant enfant ou adolescent, puis la recherche active d'un compagnon.
Ensuite le moment d'une demande sexuelle très importante, pour enfin se stabiliser une fois adulte, avec son ou ses compagnons.
Ensuite la routine s'installe, comme un vieux couple d'hétéro, et on recherche de moins en moins le côté sexuel, qui laisse sa place uniquement au côté affection.
Le spectre des zoophiles
Cette courbe est intéressante parce qu'elle présente la répartition des personnes qui se disent être zoophiles.
Les groupes de personnes sont classés de gauche à droite, selon la fréquence des rapports sexuels.
A l'extrême gauche, on retrouvera les zoo-romantiques (voir plus bas), les fantasmeurs, les voyeurs.
Viennent ensuite les zoophiles qui ont des relations sexuelles, d'un côté les opportunistes (qui n'ont pas d'animaux) et ceux qui ont leurs compagnons.
A l'extrême droite, on retrouve les hyper-actifs sexuels. Les personnes de ce groupe sont généralement ouverts à plusieurs formes de sexualité, on peut les définir comme épicuriens.