J'ai choisi les animaux
quatrième de couverture :
Pour l'auteur de ce livre, l’amour des bêtes, loin d'être la “ passion honteuse ” qu'on à parfois tendance à voir en lui, est l'un des sentiments les plus purs, les plus estimables et les plus justifiés qui soient - quand bien même il s’accompagnerait de quelque misanthropie. Pour illustrer son propos, Claude Elsen commence par transcrire les pages de son journal qui ont trait à ses chiens et à ses rapports avec eux. Cette “ chronique d'une double amitié ” tend à montrer que le commerce qu'on peut avoir avec un animal peut être aussi étroit et aussi riche que celui qu'on a avec un être humain, et qu'il est de même nature. La seconde partie est une suite de réflexions sur le comportement souvent indéfendable - des hommes en général avec leurs frères dits “ inférieurs ”. L’auteur s'en prend sans ménagements à ce qu'il appelle “ les jeux sauvages ” (Ici chasse. Ici tauromachie, etc.), aux expérimentation pseudo scientifiques effectuées - le plus souvent gratuitement et sons résultat, sinon sons cruauté - sur les animaux. Il s'emploie enfin à mettre en question Ici prétendue “ supériorité ” de l'homme sur l’animal et à foire le procès de l’anthropocentrisme, ou nom de quoi les humains s’arrogent le droit de mépriser, de torturer et de tuer selon leur bon plaisir tous les outres êtres vivants. Livre à la fois objectif et passionné, J'ai choisi les animaux enchantera les zoophiles, irritera les outres - mois incitera sans nul doute ses lecteurs à réfléchir sur un certain nombre de problèmes à Ici fois affectifs, moraux, voire philosophiques, qui concernent tous les hommes et leurs rapports avec ceux que l'on dit leurs frères inférieurs...