Catégorie:Législation

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Sous de nombreuses juridictions toutes formes d'actes sexuel avec les animaux sont interdits. D'autres encadrent seulement les mauvais traitements envers les animaux sans mention spécifique de l'activité sexuelle. Dans certains pays comme le Danemark, la bestialité n'est pas illégale. Elle est en revanche actuellement illégale au Canada, aux Pays-Bas et dans la pluparts des états États-Unis, en Australie (à l'exception de l'ACT [ndt:?]) et en Nouvelle-Zélande. Au Royaume-Uni seuls les actes pénétratifs sont illégaux.[1] Des pays comme la Belgique, l'Allemagne et la Russie sont entre les deux: ils permettent l'activité sexuelle avec des animaux mais prohibent la promotion de la pornographie animale.[2]

Les lois sur la zoosexualité sont souvent provoquée par des incidents spécifiques.[3] Tandis que certaines lois sont très spécifiques, les autres emploient des termes vagues comme la "sodomie" ou la "bestialité" qui manquent de précision juridique et manquent principalement de clarté sur les actes réellement couverts. Par le passé, certaines lois ont pu être rédigées par crainte que la pratique sexuelle avec un animal puisse conduire à l'apparition de monstruosité ainsi que parce qu'elle était jugée offensante. Les lois actuelles contre la cruauté se concentrent principalement sur le bien être animal.[4]

Parmi les considérations légales notables figure la Suède, où un rapport en 2005 par l'Agence gouvernementale suédoise du bien être animal exprima des préoccupations à l'égard de l'augmentation du nombre de cas de horse-ripping. L'agence considéra que la législation sur la cruauté à l'égard des animaux n'était pas suffisante pour protéger les animaux des abus et avait besoin d'être mise à jour, mais conclut dans cet arbitrage qu'une interdiction n'était pas nécessaire.[5]. En Nouvelle Zélande, la loi criminelle de 1989 a envisagé la suppression de la zoophilie des atteintes criminelles et considéré à la place qu'il s'agissait d'une question de santé mentale. Ce ne fut finalement pas le cas et il est toujours possible d'y être poursuivi pour zoophilie.[6]

Certains pays ont déjà eu des lois contre les célibataires vivant avec des animaux femelle comme les alpacas. S'accoupler avec une femelle alcapa est toujours illégal au Pérou.[7]

Notes

  1. http://www.opsi.gov.uk/acts/acts2003/ukpga_20030042_en_5#pt1-pb18-l1g69
  2. § 184a Verbreitung gewalt- oder tierpornographischer Schriften Distribution de publication de pornographie violente ou animale à Strafgesetzbuch
  3. Howard Fischer: Lawmakers hope to outlaw bestialityArizona Daily Star, March 28, 2006. En Arizona, les motifs pour légiférer étaient liées à la multiplication de cas récents.
  4. Posner, Richard, A Guide to America's Sex Laws, The University of Chicago Press, 1996. ISBN 978-0-226-67564-0. Page 207
  5. http://www.thelocal.se/article.php?ID=1357
  6. http://www.highbeam.com/doc/1P1-112105423.html NSW: New Zealand man charged with bestiality and animal cruelty
  7. [1] The Real Drug Abusers