A case study of preferential bestiality (zoophilia)
Attention : cet article contient certaines idées qui n'engagent que son auteur et ne sont donc pas forcement à prendre comme verités absolues
Souvenez-vous que la psychologie est loin d'être une science exacte et qu'elle est avant tout très normative... D'ailleurs l'auteur a revu par la suite ses positions (voir les liens proposés).
Résumé en anglais :[modifier | modifier le wikicode]
A Case Study of Preferential Bestiality (Zoophilia) Christopher M. Earls
Département de Psychologie, Université de Montréal, Montréal, Quebéc, Canada
Martin L. Lalumiere
Law and Mental Health Program, Centre for Addiction and Mental Health, Toronto, Ontario, Canada, Departments of Psychiatry and Criminology, University of Toronto, Toronto, Ontario, Canada
Humans show a wide array of sexual preferences and behaviors. Although most humans prefer and have sex with consenting adults of the opposite sex, some individuals have unconventional preferences with regard to the sex or age of sexual partners, or with regard to the nature of sexual activities. In this paper, we describe a rare case of preferential bestiality, or zoophilia. The client meets the most stringent criteria for the diagnosis of zoophilia. In particular, his phallometrically measured arousal pattern shows a sexual preference for horses over other species, including humans.
Key Words: bestiality • zoophilia • phallometry.
Sexual Abuse: A Journal of Research and Treatment, Vol. 14, No. 1, 83-88 (2002) DOI: 10.1177/107906320201400106
Article disponible ici mais payant
Traduction[modifier | modifier le wikicode]
Si vous vous sentez le courage vous êtes bienvenus
Article français traitant du texte en question[modifier | modifier le wikicode]
L’homme qui aimait trop les chevaux
Un article paru dans Forum, publication de l'université de Montréal où l'auteur s'explique sur sa recherche. Il est à noter que Earls reviendra sur ses positions par la suite.