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Elle concerne notamment les différentes relations observés chez les animaux par rapport à leurs espèces et celles-ci  peuvent varier selon les facteurs interindividuels et environnementaux. Leurs diversités résident communément dans le nombre de mâle et de femelle présent dans chaque groupe d'animaux.
Elle concerne notamment les différentes relations observés chez les animaux par rapport à leurs espèces et celles-ci  peuvent varier selon les facteurs interindividuels et environnementaux. Leurs diversités résident communément dans le nombre de mâle et de femelle présent dans chaque groupe d'animaux.


===modèles de relations===
===Modèles de relations===
trois modèles de relations sexuées ont été mis en évidence dans diverses espèces parmi lesquelles on distingue :
Trois modèles de relations sexuées ont été mis en évidence dans diverses espèces parmi lesquelles on distingue :
* '''la monogamie'''
* '''la monogamie'''
:Elle est composé d'une femelle et d'un mâle qui entretiennent une relation sexuelle exclusive avec leur partenaire de sexe opposé. L'accouplement n'est toléré qu'avec le/la partenaire faisant partie de la relation.  
:Elle est composé d'une femelle et d'un mâle qui entretiennent une relation sexuelle exclusive avec leur partenaire de sexe opposé. L'accouplement n'est toléré qu'avec le/la partenaire faisant partie de la relation.  

Version du 14 août 2018 à 18:30

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Article adapté à partir des articles français et anglais de Wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/Comportement_sexuel http://en.wikipedia.org/wiki/Animal_sexual_behaviour

REMANIEMENT EN COURS

Le comportement sexuel des animaux prend différentes formes même au sein d'une même espèce. Les chercheurs ont observés divers comportements sexuels chez plusieurs espèces tels que la monogamie, la promiscuité sexuelle, le sexe entre espèce, l'excitation sexuelle liée à des lieux ou des objets, des rapports sexuels coercitifs, des copulations avec des animaux morts, l'homosexualité, la bisexualité ou l'hétérosexualité, des comportements sexuels en fonction des situations et une large gamme de pratiques. Ces études ont également noté une certaine diversité genrée de ces comportements et même une diversité sexuelle comme l'intersexualité.

L'étude de la sexualité animale (principalement chez les primates) est un domaine de recherche qui se développe rapidement. On a longtemps considéré que seuls les humains pouvaient avoir des comportements sexuels qui n'étaient pas destinés à la procréation et que la sexualité animale était instinctive et une simple réponse à des stimulations adaptées (vue ou odeurs). Les connaissances actuelles ont mis en évidence une promiscuité sexuelle naturelle chez des espèces que l'on pensait précédemment monogames, qu'un grand nombre d'espèces pratiquaient la masturbation ou même que l'homosexualité avait été observée chez plus de 1500 espèces et bien documentée parmi 500 d'entre elles.

Chez les mammifères, le comportement sexuel est un comportement fondamental qui permet la reproduction et donc la survie de l'espèce. Il permet, au cours de la copulation, de transmettre les spermatozoïdes de l'urètre du mâle au vagin de la femelle, ce qui permet la fécondation des ovules. Mais le comportement sexuel animal ne se limite pas au comportement reproductif et l'on met également en évidence un large éventail de comportements érotiques chez l'animal.

Écologie comportementale[modifier | modifier le wikicode]

L'écologie comportementale est une branche de l'écologie qui s'intéresse à la structuration des sociétés animales. Elle concerne notamment les différentes relations observés chez les animaux par rapport à leurs espèces et celles-ci peuvent varier selon les facteurs interindividuels et environnementaux. Leurs diversités résident communément dans le nombre de mâle et de femelle présent dans chaque groupe d'animaux.

Modèles de relations[modifier | modifier le wikicode]

Trois modèles de relations sexuées ont été mis en évidence dans diverses espèces parmi lesquelles on distingue :

  • la monogamie
Elle est composé d'une femelle et d'un mâle qui entretiennent une relation sexuelle exclusive avec leur partenaire de sexe opposé. L'accouplement n'est toléré qu'avec le/la partenaire faisant partie de la relation.

On parle alors de couples. Elle est relativement rare dans le règne animal.

  • la polygamie
Elle est composé d'une femelle ou de plusieurs femelles qui ont des relations sexuelles exclusives avec un ou plusieurs mâles. Plusieurs catégories sont définies :
    • la Polygynie
Un seul mâle a une relation exclusive avec deux ou plusieurs femelles, ces dernières ont une relation exclusive envers le mâle.
    • la Polyandrie
Une seule femelle a une relation exclusive avec deux ou plusieurs mâles, ces derniers ont une relation exclusive envers la femelle.
    • la Polygynandrie
Deux ou plusieurs femelles ont une relation exclusive avec deux ou plusieurs mâles. Le rapport du nombre de femelle et de mâle peut varier d'une relation à l'autre.
  • la promiscuité
Tout mâle peut s'accoupler avec tout femelle. C'est par exemple le cas chez les chimpanzés et les bonobos. Ces espèces vivent dans des structures sociales composés de plusieurs mâles et de plusieurs femelles. Chez les bonobos la promiscuité est particulièrement importante car cela leur permet d'apaiser les conflits sociaux en acceptant de faire des rapports sexuelles, cette pratique existe en même temps que la sélection sexuelle du partenaire.

Les structures sociales ne sont pas nécessairement associés avec des relations sociales dans lesquelles les partenaires restent ensemble ou élèvent ensemble les petits (ce qui est fréquent dans la monogamie). Dans la polyandrie, souvent le mâle et la femelle restent ensemble pour élever les petits. Dans la polygynie où le nombre de femelles associées à chaque mâle est bas, le mâle reste souvent avec la femelle pour élever leurs petits. Dans la polygynandrie, chaque mâle peut assister une autre femelle. Dans les système où la polygynie est forte ou lorsque la promiscuité est forte, les soins paternels sont rares voire même aucune relations parentales.

Il est cependant important de concevoir que ces catégories sont idéales et que les relations sociales sont plus facilement observables que les copulations qui interviennent. Des études ADN ont montré que les accouplements en dehors de la relation exclusive étaient fréquents même s'ils peuvent être minoritaires[1]. Les relations sont donc rarement exclusive parmi les individus d'une espèce, mais dans certains cas, une même espèce peut avoir des systèmes relationnels différents selon le contexte (zones géographiques, accessibilité de la nourriture, etc.), dès lors, certains chercheurs ont été amenés à distinguer la monogamie sexuelle de la monogamie sociale[2].

Aspect saisonnier de la sexualité animale[modifier | modifier le wikicode]

Voir l'article détaillé Chaleurs

Plusieurs espèces ont des saisons spécifiques dédiées à la reproduction. Celles-ci sont souvent associées à des modifications dans la structure du troupeau ou du groupe et des changements comportementaux avec par exemple des phénomènes de définition de territoires entre les individus.

Ces saisons peuvent être annuelles (comme chez les loups), bisannuelles (comme chez les chiennesou plus récurrentes (comme chez les chevaux). Lors de ces périodes de chaleurs les femelles de la plupart des espèces sont plus réceptives physiquement et mentalement aux avances sexuelles, cependant les animaux peuvent malgré tout s'engager dans des rapports sexuels en dehors de ces saisons[3] sans être pour autant traumatiques[4].

Interprétations de la sexualité animale[modifier | modifier le wikicode]

Le champs d'étude de la sexualité des animaux est longtemps restée taboue[5]. Les chercheurs échouaient pendant longtemps à observer ces comportements ou les décrivaient et les catégorisaient à tort puisqu'ils ne correspondaient pas à leurs conceptions. Des recherches plus récentes ont mis en lumières de nouveaux éléments.

Par exemple l'homosexualité animale a souvent été décrite comme quelque chose différent de la sexualité ou alors le fait de renifler un autre animal a parfois été décrit comme relevant de la sexualité alors qu'un rapport anal, même avec orgasme, n'était pas considéré comme un acte sexuel mais comme un acte ayant à voir avec des rapports de domination. Or les rapport de domination sont rarement accompagnés d'acte sexuel proprement dit. Le dominant cherche à se positionner plus haut que le soumis, mais cela se fait le plus souvent par les flancs voir face à face en grimpant sur quelque chose d'autre et quand il se fait en grimpant la croupe du soumis, il n'est pas accompagné d'érection et mouvements du bassin. Ces actes sont plus souvent bien le reflet de pulsions sexuelles.

Le sexe pour le plaisir[modifier | modifier le wikicode]

Il est courant de penser comme ci cela relevait d'une règle que les animaux n'ont pas de rapport sexuels pour le plaisir ou alors que seuls les hommes ou les porcs (et peut-être les chats, les dauphins et quelques espèces de primates) seraient les seules à le faire. Cette assomption est souvent formulée de la manière suivante: "Les animaux s'accouplent seulement pour la reproduction".

La science n'est pas actuellement en mesure d'établir précisément si les animaux expérimentent ou non du plaisir, question largement relative au problème des émotions chez les animaux. Mais le fait que des activités sexuelles interviennent en dehors des périodes de chaleurs chez certains animaux, ou des exemples de masturbation animale laissent penser que les animaux peuvent expérimenter du plaisir sexuel.

Il est probable que les animaux n'aient pas conscience que leur activité sexuelle soit connectée ou pas à la reproduction. Ils s'engagent habituellement dans des rapports sexuels parce qu'ils y sont conduits pour des raisons biologiques. La sensation physique qu'ils peuvent éprouver de satisfaction lors du rapport sexuel peut être considérée comme du plaisir. On ne peut pas non plus exclure que d'autres comportements qui ne conduisent pas à la procréation ne soient pas motivés par d'autres raisons que celles du plaisir.

L'Avis du Conseil d'éthique animale danoise de 2006 qui examine les connaissances actuelles sur la sexualité animale dans le contexte d'une saisine sur la zoophilie fait plusieurs commentaires en particuliers relatifs aux animaux domestiques:

" Even though the evolution-related purpose of mating can be said to be reproduction, it is not actually the creating of offspring which originally causes them to mate. It is probable that they mate because they are motivated for the actual copulation, and because this is connected with a positive experience. It is therefore reasonable to assume that there is some form of pleasure or satisfaction connected with the act. This assumption is confirmed by the behaviour of males, who in the case of many species are prepared to work to get access to female animals, especially if the female animal is in oestrus, and males who for breeding purposes are used to having sperm collected become very eager, when the equipment they associate with the collection is taken out.

There is nothing in female mammals’ anatomy or physiology, that contradicts that stimulation of the sexual organs and mating is able to be a positive experience. For instance, the clitoris acts in the same way as with women, and scientific studies have shown that the success of reproduction is improved by stimulation of clitoris on (among other species) cows and mares in connection with insemination, because it improves the transportation of the sperm due to contractions of the inner genitalia. This probably also concerns female animals of other animal species, and contractions in the inner genitals are seen e.g. also during orgasm for women. It is therefore reasonable to assume that sexual intercourse may be linked with a positive experience for female animals.


Le comportement sexuel permet la reproduction des espèces animales sexuées[6]. On observe que le comportement sexuel change d'une espèce à l'autre, en raison des différences de l'organisation du système nerveux.

Chez tout animaux il existe un comportement de reproduction (le but est la copulation), mais chez les primates hominoïdes, il existe plutôt un comportement érotique (le but est la stimulation du corps et des organes génitaux, activités qui procurent des sensations de plaisirs intenses). Tout comme d'autre nombreuses espèces animale où il a été constaté des actes homosexuels (http://www.animalzoofrance.net/index.php/Homosexualit%C3%A9_animale) ou de masturbations (http://www.animalzoofrance.net/index.php/Masturbation_animale).

Introduction[modifier | modifier le wikicode]

Chez les mammifères, le comportement sexuel est un comportement fondamental qui permet la reproduction et donc la survie de l'espèce. Il permet, au cours de la copulation, de transmettre les spermatozoïdes de l'urètre du mâle au vagin de la femelle, ce qui permet la fécondation des ovules.

Facteurs biologiques à l'origine du comportement[modifier | modifier le wikicode]

Chez les mammifères, le comportement sexuel dépend de cinq principaux facteurs biologiques : les réflexes sexuels, les hormones sexuelles, les phéromones sexuelles, les processus de renforcement et les processus cognitifs.

  • Les réflexes sexuels (lubrification vaginale, érection, éjaculation, poussées pelviennes du mâle, lordose lombaire de la femelle, etc.) permettent la réalisation du coït vaginal, nécessaire à la fécondation et à la reproduction.
  • Par rapport au comportement sexuel, les hormones sexuelles sont impliquées dans la motivation sexuelle (testostérone), le contrôle saisonnier de l'accouplement (mélatonine), et le contrôle des phéromones [7].
  • Les phéromones provoquent le déclenchement d'un état d'excitation sexuel et permettent l'identification du partenaire sexuel de l'autre sexe [8]. Ce sont les phéromones qui sont à l'origine de l'orientation sexuelle des mammifères inférieurs (rongeurs, canidés, félidés, bovidés, etc.). Par exemple, la femelle émet des phéromones sexuelles qui ne sont détectées que par le mâle, ce qui déclenche un comportement hétérosexuel.
  • Les processus de renforcement (ou système de récompense) sont à l'origine de la motivation et de l'apprentissage de séquences motrices destinées à stimuler les organes génitaux [9]. Par exemple, chez l'Homme, comme la stimulation du pénis ou du clitoris procure plus de plaisir érotique (récompense intense) que la stimulation des jambes, les êtres humains préfèrent donc plutôt stimuler régulièrement leurs organes génitaux.
  • Les processus cognitifs, surtout chez les mammifères qui ont un cerveau développé (primates et surtout primates hominoïdes) permettent d'élaborer des stratégies, des croyances, des valeurs et des symboles sexuels. Chez l'Homme, les processus cognitifs sont à l'origine des aspects culturels de la sexualité.

Modifications phylogénétiques de la structure du cerveau[modifier | modifier le wikicode]

Ces cinq facteurs existent chez tous les mammifères, car les processus physiologiques et l'organisation générale du système nerveux est très similaire.

Mais, de la souris à l'Homme, certaines structures du cerveau ont évolués, ce qui a provoqué des modifications du contrôle du comportement sexuel chez chaque espèce de mammifère.

Chez les rongeurs, les structures olfactives occupent un tiers du système nerveux, ce qui explique la grande importance des phéromones chez ces animaux. Au contraire, chez l'Homme, l'organe voméronasal est moins développé et surtout la partie olfactive ne représente plus que quelques pourcents du cerveau. Pour ces raisons, les phéromones n'ont plus qu'un rôle mineur dans les comportements humains.

Chez les rongeurs, les régions du système nerveux qui ont des récepteurs aux hormones sexuelles (mésencéphale et diencéphale) représentent la plus grande partie du cerveau, ce qui explique les effets majeurs de ces hormones. Par contre, comme le cortex cérébral, qui n'a pas de récepteurs aux hormones sexuelles, représente les trois-quarts du cerveau humain, les hormones sexuelles n'ont qu'un faible effet chez l'espèce humaine.

C'est également ce développement très important du cortex cérébral qui explique le rôle majeur de la cognition, non seulement dans la sexualité, mais dans tous les comportements humains.

Comportement de reproduction[modifier | modifier le wikicode]

Voir aussi: Sexualité animale

Chez les rongeurs, les hormones et les phéromones sont les principaux facteurs qui contrôlent le comportement sexuel.

La mélatonine inhibe le comportement sexuel durant toute l'année, sauf en général au printemps, période favorable à la reproduction. Les phéromones permettent le déclenchement du comportement sexuel, qui est surtout une copulation, entre un mâle et une femelle. On désigne cette période favorable à la reproduction chez certains animaux par le terme Chaleurs.

Ce comportement, dont le but est principalement la copulation, est un comportement de reproduction.

Comportement érotique[modifier | modifier le wikicode]

Chez l'Homme, si les hormones jouent encore un rôle majeur, les phéromones sont supposées ne plus remplir qu'un rôle mineur dans le comportement sexuel. Les processus de renforcement et les processus cognitifs sont devenus prépondérant, ce qui a modifié la dynamique du comportement sexuel.

Ce sont les processus de renforcement (ou de récompense), qui sont à l'origine du comportement sexuel humain. Toutes les stimulations des zones érogènes, et surtout le pénis/clitoris, sont renforcées (ou récompensées, par la perception d'une sensation de plaisir intense). L'être humain recherche, apprend et répète les stimulations corporelles qui lui procurent le plus de renforcements (qu'il perçoit comme plaisir érotique).

Le biologiste Thierry Lodé[10] insiste pour sa part sur l'importance des caresses associées au baiser intervenant dans l'exploration du système immunitaire du partenaire sexuel. L'auteur révèle également l'intérêt des traits symétriques ou au contraires des caractères hyperthéliques et exubérants dans les mécanismes érotiques d'attrait du partenaire sexuel. C'est à partir du nouveau concept évolutif de conflit sexuel que s'expliquerait l'extravagance des stimulants. Certains estiment, que les phéromones n'ayant plus guère d'effet, le seul facteur vraiment important chez l'Homme serait la recherche du renforcement (ou du plaisir) par la stimulation des zones érogènes, et l'application de rôles et modèles appris et transmis par l'éducation (et maintenant l'image, le film). Il n'existerait donc plus de comportement de reproduction hétérosexuel, mais un comportement érotique dont le but principal est la stimulation du corps [11].

Les processus cognitifs sont à l'origine de croyances, de symboles et de valeurs relativement à la sexualité. En fonction de ces croyances sexuelles, qui évoluent au grè des époques et selon les sociétés et individus (selon l'âge de la vie par exemple), il existe des valeurs, des obligations, des comportements valorisés ou interdits. Et c'ce contexte « culturel » influencer la forme finale du comportement érotique.

S'il existe peu de règles sociales formulées concernant la sexualité (comme dans les petites sociétés pré-industrielles), on observe que les individus recherchent tous les types de stimulations érotiques, et leur comportement érotique sera surtout autosexuel (masturbation) et bisexuel (c'est ce qu'on observe chez les chimpanzés bonobos, espèce animale la plus proche de l'Homme [12] ). Si, comme dans la société occidentale, l'homophobie semble moins répandue, le couple hétérosexuel est socialement valorisé, on observe que la majorité des individus n'expérimentent, n'apprennent et ne recherchent qu'un comportement érotique dit hétérosexuel.

Voir l'article détaillé "Comportement érotique".

Chez l'Homme, la sexualité ne se limite pas à l'aspect comportemental. Les activités érotiques provoquent des plaisirs, des affects et des émotions intenses, ainsi que toute une réflexion éthique, artistique et culturelle ayant pour objet l'étreinte des corps et les passions des âmes.

Voir l'article détaillé "Sexualité humaine".

Voir également[modifier | modifier le wikicode]

Références[modifier | modifier le wikicode]

  1. Barash, D.P. & Lipton, J.E. (2001). The Myth of Monogamy. New York, NY: W.H. Freeman and Company.
  2. Reichard, U.H. (2003). Monogamy: Past and present. In U.H. Reichard and C. Boesch (Eds.), Monogamy: Mating strategies and parnternships in birds, humans, and other mammals (pp.3-25).Cambridge: Cambridge University Press.
  3. Par exemple, la masturbation, ou des tentatives de monte et d'autres comportements sont régulièrement observés chez les mâles en dehors des saisons
  4. Avis sur les relations sexuelles entre humains et animaux du Conseil d'éthique animale danois, novembre 2006 En 2006, le Conseil d'éthique animale Danois rapportait : "La membrane muqueuse du vagin des femelles et le comportement animal sont influencés par les cycles du rut. Ce qui signifie que l'animal est physiquement et psychologiquement plus préparé pour des activités sexuelles à certains moments qu'à d'autres. Mais cela ne signifie pas qu'une activité sexuelle en dehors de ces saisons puissent provoquer des dommages, de la peur ou des souffrances. Texte original du passage : " Slimhinden i hundyrets vagina og dyrets adfærd er under indflydelse af dets brunstcyklus. Det betyder, at dyret er fysisk og mentalt mere parat til seksuelle aktiviteter på nogle tidspunkter end på andre. Men dette er ikke ensbetydende med, at den seksuelle aktivitet vil være forbundet med skader, angst og lidelse, hvis den foregår udenfor brunstperioden.
  5. 1,500 animal species practice homosexuality". News-medical.net. 2006-10-23.
  6. Thierry Lodé "Les stratégies de reproduction des animaux" Eds Dunod Masson Sciences, Paris, 2001
  7. KNOBIL Ernst, NEILL Jimmy. The physiology of reproduction. Raven Press, 2e édition, 1994
  8. KNOBIL & NEILL 1994, opus cité
  9. CRAWFORD LL, HOLLOWAY KS, DOMJAN M. The nature of sexual reinforcement. J Exp Anal Behav; 60(1) : 55-66, 1993
  10. Thierry Lodé "La guerre des sexes chez les animaux, une histoire naturelle de la sexualité. eds Odile Jacob, Paris 2006
  11. WUNSCH Serge , BRENOT Philippe. Sexualité : instinct ou apprentissage ? Médecine Sexuelle, 1:12-21, 2005
  12. DE WAAL Frans. De la réconciliation chez les primates. Flammarion 1992. voir également les autres travaux de cet auteur.