« Vies des douze Césars » : différence entre les versions

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« Plus que ses confrères, en effet, Suétone se complaît dans l’évocation des crimes et des orgies extravagantes auxquels se sont livrés les premiers empereurs n’hésitant pas à rapporter les anecdotes les plus sujettes à caution ou les détails les plus scabreux. »<ref>Vincent Jolivet,« Sade et Suétone », Dix-huitième siècle, 2009, vol. I, n°41 p. 624</ref>
« Plus que ses confrères, en effet, Suétone se complaît dans l’évocation des crimes et des orgies extravagantes auxquels se sont livrés les premiers empereurs n’hésitant pas à rapporter les anecdotes les plus sujettes à caution ou les détails les plus scabreux. »<ref>Vincent Jolivet,« Sade et Suétone », Dix-huitième siècle, 2009, vol. I, n°41 p. 624</ref>
Il évoque notamment le fait que l'empereur Néron fit donner un ballet dont le sujet était [[Pasiphaé]] jouée par une femme enfermée dans une génisse de bois et saillie par un taureau.


== Articles connexes ==
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Version du 8 décembre 2010 à 10:33

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ATTENTION, cet article est une ébauche !


Ouvrage biographique sur la vie des empereurs romain de l'historien romain Suétone. L'auteur ne s'y soucie guère de délicatesse et accumule les pièces à charge dans le procès qu’il instaure aux Césars débauchés du premier siècle, citant leurs traits de bassesse comme leurs vices les plus odieux.

« Plus que ses confrères, en effet, Suétone se complaît dans l’évocation des crimes et des orgies extravagantes auxquels se sont livrés les premiers empereurs n’hésitant pas à rapporter les anecdotes les plus sujettes à caution ou les détails les plus scabreux. »[1]

Il évoque notamment le fait que l'empereur Néron fit donner un ballet dont le sujet était Pasiphaé jouée par une femme enfermée dans une génisse de bois et saillie par un taureau.

Articles connexes[modifier | modifier le wikicode]

Notes[modifier | modifier le wikicode]

  1. Vincent Jolivet,« Sade et Suétone », Dix-huitième siècle, 2009, vol. I, n°41 p. 624